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C'est deux-là ne se quittent plus. Entre Antoine Griezmann et Cristiano Ronaldo, une rivalité commence à se dessiner, la faute à des batailles épiques remportées par le dernier cité face au premier, que ce soit en club ou en sélection. Mais Grizi préfère chambrer sans animosité.

Entre Antoine Griezmann et Cristiano Ronaldo, la rivalité reste bon enfant. Sur le rectangle vert, le Français a souvent été dominé par son adversaire portugais au cours de l’exercice écoulé. En effet, que ce soit en finale de la Ligue des Champions avec l’Atlético Madrid ou de l’Euro avec les Bleus, le natif de Mâcon a dû à chaque fois regarder le triple (bientôt quadruple ?) Ballon d’Or soulever les trophées et être porté aux nues par ses supporters.

De quoi rendre vert de jalousie l’attaquant colchonero, qui a d’ailleurs eu un petit trait d’humour lorsqu’il a croisé son homologue lusitanien en vacances en Floride : « C’est drôle parce que, peu après la finale (de l’Euro), en vacances à Miami, j’ai croisé Antoine Griezmann dans un restaurant où il dînait avec sa fiancée. Il est venu me voir à ma table et m’a dit, dans un sourire complice : "Cristiano, je te déteste !" », a ainsi révélé il y a quelques jours CR7 dans les colonnes de France Football.


Griezmann calme le jeu avec Cristiano Ronaldo
Une anecdote quelque peu croustillante sur laquelle est revenue Grizi, au cours d’un long entretien accordé au quotidien L’Équipe : « Oui, oui, on s’est chambrés », a-t-il avoué, avant de préciser : « Enfin, j’ai juste plaisanté comme ça, parce qu’il m’en a fallu du temps pour digérer cette défaite en finale. Mais, franchement, ce n’est pas parce qu’il m’a battu sur deux compétitions importantes et qu’il a réussi un triplé le week-end dernier chez nous que mon regard change. J’ai un grand respect pour lui », a affirmé l’ancien joueur de la Real Sociedad, admiratif du parcours du taulier merengue.

Une petite touche d’humour au moment de se chambrer n’a jamais fait de mal à personne. Et puis, quitte à taquiner Sa Majesté CR7, mieux vaut emprunter cette voie-là que celle choisie par Koke, dont les propos n’ont pas forcément été du meilleur goût, c’est peu de le dire. Le malaise est donc dissipé, et les deux hommes peuvent à nouveau se concentrer sur ce qu’ils savent faire de mieux, à savoir enfiler les buts comme des perles. La bataille du terrain, il n’y a que ça de vrai !
Foot Mercato

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