Avant la coupe du monde j’ai fait une grande saison avec mon club, ça n’a pas suffi. La vraie rupture a été en 2012, ce qu’il s’est passé avec les journalistes. J’ai essayé d’être bon sur le terrain, mais quand j’ai vu la liste ça a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, souligne le meneur. Même si mon père était sélectionneur, je n’y retournerai pas. J’ai souffert en sélection. J’ai aimé y aller. (...) Je ne suis pas parfait, j’ai mes défauts, mais quand on est un grand sélectionneur on gère les égos. Je ne connais pas un joueur qui est sur le banc et qui est content. (...) J’ai toujours envie de jouer, le foot c’est ma vie. Je suis chanceux de faire ça, mais quand je suis sur le banc je ne suis pas content. Je me bats, mais je ne suis pas content, c’est comme ça.
Nasri évoque sa fracture avec les Bleus
Samir Nasri est revenu sur son histoire contrariée avec l’équipe de France et son éviction par Didier Deschamps après le match retour France-Ukraine, qualifiant les Bleus pour la Coupe du Monde au Brésil. A J+1 sur Canal Plus, le joueur de Manchester City est revenu sur son parcours chaotique en Bleu et ses actes manqués.
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